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Modérateur : Bob Purdy Évaluation des risques climatiques à l’échelle provinciale : l’exemple de la Colombie-BritanniquePrésentatrice : Johanna Wolf En 2019, la province de la Colombie-Britannique a publié le Preliminary Strategic Climate Risk Assessment [Évaluation stratégique préliminaire des risques climatiques] pour la Colombie-Britannique ainsi que le cadre connexe. Cette évaluation était une première tentative de quantifier les risques liés au climat qui auraient une importance majeure pour la province. Cette approche novatrice permet de quantifier le risque en utilisant la probabilité et les conséquences de scénarios précis se produisant à l’heure actuelle et prévus pour les années 2050. Dans le cadre de cette présentation, les résultats seront examinés à la fois en fonction du classement des notes globales de risque et en nuançant les conséquences par rapport à différents risques. Les travaux futurs comprendront l’élargissement de ce cadre à l’intention des ministères, des organisations du secteur public et des gouvernements régionaux. Cette évaluation préliminaire se veut itérative et contribuera à éclairer la nouvelle stratégie de préparation et d’adaptation aux changements climatiques, qui sera publiée en 2020 conformément à l’engagement du plan CleanBC 2018. Les coûts et les avantages des répercussions des changements climatiques et de l’adaptation au Canada : démonstration de l’analyse de rentabilisation de la résiliencePrésentateur : Richard Boyd Les changements climatiques ont déjà des répercussions économiques importantes aujourd’hui et en auront davantage à l’avenir. De plus en plus de personnes chargées de prendre des décisions visant à réduire les répercussions et les risques des changements climatiques sollicitent des informations sur les coûts nets associés aux changements climatiques, ainsi que sur les coûts et les avantages liés aux stratégies d’adaptation. Cette présentation résumera l’état des connaissances sur les répercussions des changements climatiques et les aspects économiques de l’adaptation au Canada. Elle commencera par définir le contexte de la prise de décision en matière d’adaptation, soulignant le rôle de soutien de l’analyse et des outils économiques. Ensuite, les estimations des conséquences économiques des changements climatiques pour le Canada seront évaluées d’un point de vue national, provincial, municipal et sectoriel. Les outils économiques destinés à soutenir la prise de décision en matière d’adaptation et leur application au Canada seront ensuite abordés. La présentation se terminera par des conclusions générales et des messages clés pour établir l’argumentaire en faveur de l’investissement dans l’adaptation aux changements climatiques.
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Modérateur : Mike Simpson Espace de liberté pour les rivières : une approche économique de la gestion durable dans un climat en mutationPrésentatrice : Joanna Eyquem À l’échelle mondiale, il y a eu un mouvement vers une gestion plus durable des rivières, basée sur le concept de l’intégration des processus naturels dans les travaux. Il s’agit notamment de donner une place appropriée aux rivières dans la conception des villes et des infrastructures, afin que les inondations et l’érosion naturelles puissent se produire et que les services écosystémiques associés puissent fonctionner. Ce concept, appelé « espace de liberté » au Québec, s’oppose aux interventions réactives et localisées, qui ont souvent servi à déplacer temporairement les problèmes plutôt qu’à fournir des solutions à long terme. Dans cette présentation, Joanna Eyquem donnera un aperçu des techniques utilisées pour définir l’espace fonctionnel requis par les rivières. Ces techniques comprennent l’utilisation de la technologie LiDAR et l’interprétation hydrogéomorphologique pour déterminer les risques fluviaux, ainsi que la prise en compte des milieux humides riverains. L’analyse coûts-avantages entreprise pour trois études de cas au Québec démontrera l’avantage global pour la société d’adopter cette approche, en tenant compte des avantages des services écosystémiques qui sont susceptibles d’accroître la résilience des bassins versants aux impacts des changements climatiques. Adaptation aux inondations à Mi’kma’kiPrésentateur et présentatrice : Alex Cadel et Cheyenne MacDonald Les collectivités des Premières Nations sont généralement reconnues comme étant parmi les plus vulnérables aux effets des changements climatiques. De nombreuses collectivités sont déjà régulièrement confrontées à des inondations, à des ondes de tempête et à l’érosion, et ces impacts seront encore exacerbés dans un climat en changement en raison de la modification des régimes de précipitation et de l’élévation du niveau de la mer. Cette présentation portera sur la façon dont l’équipe de l’action climatique de la Confederacy of Mainland Mi'kmaq a travaillé avec huit communautés mi'kmaq pour effectuer des évaluations de la vulnérabilité face aux changements climatiques, créer des modèles numériques d’élévation pour examiner différents scénarios d’inondation et élaborer des stratégies d’adaptation pour régler les problèmes prioritaires. Elle comprendra un exemple sur la façon dont l’information concernant les risques d’inondation a été utilisée pour aider les dirigeants de la bande à prendre des décisions en matière d’aménagement du territoire pour une nouvelle école, ainsi que les activités prévues en matière de surveillance et de restauration du littoral. Les présentateurs examineront également la manière dont les projets s’appuient sur les concepts mi'kmaq de Netukulimk et de Two Eyed Seeing (approche à double perspective). Atténuation des inondations à Dawson Creek : le passage à une prise de décision éclairéePrésentatrice : Chelsea Mottishaw Chaque inondation crée des occasions uniques ainsi que des incidences et des défis. Au cours de la dernière décennie, la ville de Dawson Creek a connu deux grandes inondations qui ont eu des répercussions considérables sur les infrastructures, les résidents et l’environnement. Bénéficiant de subventions, la municipalité s’est présentement engagée à adopter une approche intégrée en matière de gestion des crues, passant d’une approche réactive face aux inondations à une prise de décision éclairée. Cette présentation orale fournit un aperçu du cheminement de la ville vers le renforcement de la résilience face aux risques d’inondation au moyen d’investissements structurels et non structurels. La réduction efficace des risques d’inondation passe nécessairement par l’adoption d’une approche holistique à l’échelle du bassin versant où le personnel, les responsables de la gestion des urgences et les chercheurs universitaires se réunissent pour éclairer les politiques et les investissements. |
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Modératrice : Theresa Fresco Kikawinaw Askiy : planification de la protection des sources d’eau à la Première nation d’Okanese (Traité no 4) en SaskatchewanPrésentateurs : Cade Tuckanow-Starr et Robert Patrick (Ph. D.) Les changements climatiques mettent à mal Kikawinaw Askiy (la Terre mère) – nos terres, notre eau, nos poissons et nos plantes – tout ce qui donne la vie. La Première nation d’Okanese est située dans le territoire visé par le Traité no 4, en Saskatchewan, à environ 110 km au nord-est de Regina. Celle-ci aspire à se réconcilier avec Kikawinaw Askiy en rétablissant notre écologie sacrée en vivant sur la terre d’une manière respectueuse et durable. En 2018, la cheffe Marie-Anne Day Walker-Pelletier et le conseil ont approuvé un plan de protection des sources d’eau dans le but de les préserver pour les générations futures. Les eaux souterraines sont notre seule source d’eau potable. Les changements climatiques et les anciennes pratiques d’utilisation des terres menacent notre eau sacrée et source de vie. Ce processus de planification s’est fait en partenariat avec l’Université de la Saskatchewan dans le cadre d’un partage des connaissances et de l’établissement de relations. Cette présentation décrit notre plan de protection des sources d’eau et la façon dont le processus de planification fait participer les membres de la collectivité, y compris les jeunes, les femmes et les aînés, afin d’orienter le développement communautaire futur, de protéger la sécurité publique et l’infrastructure et d’assurer des investissements économiques judicieux. Planification concertée de la sécheresse dans la région semi-aride de l’OkanaganPrésentatrice et présentateur : Kellie Garcia et Nelson Jatel Les changements climatiques représentent un défi fondamental à long terme pour la durabilité de l’eau dans la région semi-aride de l’Okanagan. Au cours de la dernière décennie, l’Okanagan a connu une fonte des neiges à haute altitude qui s’est produite plus tôt qu’à l’habitude (dès mars), des niveaux record de débits d’eau élevés au printemps et de débits faibles en été et en automne, ainsi que des épisodes de chaleur extrême prolongés en été. Avec de nombreux systèmes publics d’approvisionnement en eau, une population croissante et une chaîne de lacs de vallée qui nous relient tous, le succès de l’adaptation aux changements climatiques dans l’Okanagan dépend de la collaboration. L’Okanagan Basin Water Board [office des eaux du bassin de l’Okanagan] aide les collectivités à travailler ensemble pour devenir plus résilientes et à mettre en œuvre des solutions cohérentes et coopératives aux changements climatiques. Au cours de cette séance, deux conférenciers partageront des études de cas, notamment un projet visant à déterminer les valeurs concernant les besoins en débits environnementaux pour les cours d’eau de l’Okanagan, les pratiques exemplaires, les défis et les possibilités associés à la planification concertée en matière de sécheresse. Des sondages en direct seront utilisés pour recueillir les commentaires du public, faciliter la discussion et élargir les possibilités d’apprentissage. |
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Modératrice: Inger MillerBoîte à outils sur la résilience des infrastructures des Premières nations : intégration des risques climatiques dans la gestion des actifsPrésentateurs : Guy Felio et Elmer Lickers L’Ontario First Nations Technical Services Corporation (OFNTSC), en collaboration avec Stantec Consulting and Engineers Canada, a mis sur pied une boîte à outils pour la résilience des infrastructures des Premières nations (PN) qui oriente les collectivités des Premières nations dans l’évaluation des risques liés aux changements climatiques dans un contexte de gestion du cycle de vie/des actifs. La boîte à outils a été créée dans le cadre de projets pilotes menés dans trois collectivités des Premières nations de l’Ontario et est maintenant utilisée pour le développement des capacités dans toute la province. Ce projet a été financé par les gouvernements du Canada et de l’Ontario. Cette présentation aborde le processus d’élaboration, les principes et les éléments clés de la boîte à outils (modules d’évaluation des risques climatiques et de la gestion des actifs). À l’aide d’études de cas portant sur des collectivités de l’Ontario, le présentateur illustre les étapes de l’utilisation de la boîte à outils pour l’intégration des risques climatiques dans l’analyse du cycle de vie de la planification de la gestion des actifs. Renforcement de la résilience et de la capacité à l’échelle du système : leçons tirées d’une évaluation de la résilience aux inondations en OntarioPrésentateur : Glenn Milner Étant donné que le besoin de passer de la planification de l’adaptation à la mise en œuvre continue de croître, il est crucial pour les décideurs d’envisager des moyens novateurs d’intégrer les populations vulnérables et les facteurs de résilience sociale dans l’établissement des priorités et l’évaluation des risques. Pour répondre à ce besoin, les évaluations traditionnelles des risques liés aux infrastructures évoluent en termes de portée et d’échelle pour tenir compte des collectivités et des personnes qui en dépendent. Basée sur une étude de cas menée dans la province de l’Ontario, cette présentation décrira une approche et les leçons tirées de l’évaluation de la résilience aux inondations d’une manière novatrice au sein d’un portefeuille de bâtiments. L’accent sera mis sur la façon dont la capacité d’intervention du personnel a contribué à déterminer le niveau de résilience, et sur la manière dont les résultats peuvent être adaptés pour être plus utiles à la prise de décisions. |
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Présentateurs : David Reid (modérateur), Chris Osborne, Don Crockett et Grant Lamont La politique provinciale de la Colombie-Britannique exige maintenant que tous les gouvernements locaux tiennent compte dans leurs règlements de l’élévation du niveau de la mer liée aux changements climatiques et des lignes directrices connexes sur l’utilisation des terres dans les zones côtières à risque d’inondation. Ce changement place la question de l’élévation du niveau de la mer au premier rang dans le cadre des plans communautaires officiels, des permis d’aménagement, des règlements de zonage, des règlements de lotissement et d’ingénierie, ainsi que de la gestion des biens. La prise en compte de l’élévation du niveau de la mer sera également présente dans le cadre des applications de développement du secteur privé et de la planification immobilière et agricole connexe. Cette réunion d’experts interactive rassemble une équipe de planificateurs, d’architectes paysagistes, de spécialistes de la visualisation, de professionnels de l’engagement communautaire et d’ingénieurs qui travaillent avec les collectivités pour intégrer l’adaptation à l’élévation du niveau de la mer dans les infrastructures, la réglementation et la planification à long terme. Elle explorera certains des défis scientifiques, politiques et de communication auxquels font face ces divers professionnels. Dans le cadre d’une série coordonnée, chaque panéliste fera une présentation de 10 à 15 minutes. Une discussion interactive avec l’auditoire portera sur la façon dont l’expérience de ce groupe d’experts se reflète dans d’autres municipalités ou projets du secteur privé. |
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Modérateur : Jim Vanderwal Vulnérabilité des communautés de pêcheurs de homard attribuable aux changements climatiquesPrésentatatrice : Kiyomi Ferguson Les effets des changements climatiques sur les pêches auront sans aucun doute des répercussions socio-économiques sur les communautés côtières. Cependant, l’intégration de l’information sur les changements climatiques sous une forme qui peut être utilisée efficacement par les planificateurs de l’adaptation, les décideurs et les gestionnaires des pêches demeure un défi. Cette présentation décrit comment les modèles climatiques océaniques qui fournissaient des projections de température au milieu du siècle ont été utilisés pour prévoir les changements dans la distribution du homard en Nouvelle-Écosse, au Canada. Les indices de vulnérabilité (socio-économie, infrastructure, environnement et réaction probable du homard au réchauffement climatique) ont ensuite été intégrés à l’échelle à laquelle les décisions relatives aux pêches sont prises dans cette région (unité de gestion des pêches), afin de fournir des évaluations des vulnérabilités liées aux changements climatiques pour les communautés côtières. Étant donné que la planification de l’adaptation est très importante pour la durabilité à long terme, le but immédiat est de rendre les résultats accessibles en ligne afin qu’ils puissent servir d’outil aux gestionnaires des pêches pour les aider à adopter une perspective géographique à la planification de l’adaptation et à prévoir les changements en matière de productivité et d’abondance au-delà des frontières des communautés voisines. Recherche collaborative dans la région désignée des Inuvialuit (ouest de l’Arctique canadien) : construire la base factuelle pour une stratégie de sécurité alimentaire des InuitPrésentateur et présentatrices : Jullian MacLean et Sonia Wesche Les changements climatiques, associés à d’autres facteurs de stress socio-écologiques, remettent en question l’intégrité des composantes des systèmes alimentaires des Inuit de l’Arctique canadien, qu’il s’agisse des aliments traditionnels (sauvages) ou des aliments du commerce. Dans la région désignée des Inuvialuit, les partenaires de recherche de la Société régionale inuvialuit, des universités et des collectivités locales s’efforcent de mieux comprendre et de résoudre les problèmes de sécurité alimentaire. Un processus d’engagement communautaire a été mené, comprenant 12 groupes de discussion et 19 entrevues avec des intervenants clés, à Inuvik, Aklavik, Paulatuk, Sachs Harbour, Tuktoyaktuk et Ulukhaktok. Dans une optique de « gouvernance de la sécurité alimentaire », les atouts, les lacunes, les priorités et les mesures de la collectivité seront examinés, tout comme le rôle de la dynamique du commerce de détail, du transport des denrées alimentaires et des services de santé. Un cadre élaboré conjointement vise à accroître les résultats afin de permettre l’harmonisation des objectifs locaux et régionaux. Les résultats de la recherche aideront les décideurs à cerner les lacunes et les possibilités d’action en matière de sécurité alimentaire, à harmoniser les ressources entre les secteurs et à contribuer aux nouveaux cadres stratégiques à différentes échelles. |
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Modérateur : Pete Thimmaiah Changement climatique et santé dans la Première nation de Fort William : planifier l’avenir, aujourd’huiPrésentatrice : Elizabeth Esquega L’objectif global du projet intitulé « Changement climatique et santé dans la Première nation de Fort William : planifier l’avenir, aujourd’hui » est de renforcer la capacité à planifier et à mettre en œuvre des mesures d’adaptation qui protègent et favorisent la santé physique, émotionnelle, spirituelle et mentale des membres de la collectivité de la Première nation de Fort William. À cet effet, nous élaborons un cadre d’orientation fondé sur la roue de la médecine, organisons des ateliers communautaires, recueillons des récits et le savoir traditionnel des membres de la communauté en ce qui concerne les changements climatiques et la santé, et nous mettons en œuvre un projet photovoix (photovoice) avec les jeunes. Le projet s’appuie sur les relations émergentes entre la Première nation de Fort William, l’Université Lakehead et les organismes communautaires de la région de Thunder Bay. La collaboration et le renforcement de ces relations constituent une étape cruciale vers le renforcement de la capacité d’élaborer et de mettre en œuvre des mesures d’adaptation qui protègent et favorisent la santé dans le contexte des changements climatiques. Cette présentation orale décrira et présentera les résultats préliminaires et les leçons tirées du projet. Résister au déclin des pollinisateurs à Mi’kma’kiPrésentateur : Peter Steiner Les plantes indigènes et les pollinisateurs sont en déclin en raison d’une série de menaces liées aux changements climatiques. L’habitat des pollinisateurs en bordure de culture atténue ce déclin en restaurant la biodiversité et fonctionne parallèlement à la production agricole durable. Dans le cadre d’un plan de gestion cohérent à l’échelle du paysage, il peut favoriser la connectivité entre les parcelles d’habitat nouvelles et celles existantes. Cette connectivité est essentielle pour conserver efficacement de nombreux types de pollinisateurs indigènes, étant donné que les rayons de vol sont souvent limités à des centaines de mètres. Les communautés mi'kmaq se trouvent à une intersection cruciale de cette conservation, étant des communautés urbaines situées dans des contextes ruraux, souvent entourées de terres agricoles. Nous présentons ici les premiers résultats d’une initiative dans laquelle les participants mi'kmaq ont été invités à travailler à la conservation des corridors et sources d’alimentation des pollinisateurs en tant que gestionnaires des terres. L’agriculture traditionnelle algonquienne des groupes de culture s’appuie sur la technique du compagnonnage, où l’on plante des espèces indigènes ancrées dans la culture à proximité de plantes vivrières (p. ex., du tabac cérémonial près de plants de cerises de terre), ce qui crée un riche habitat pour les pollinisateurs. |
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Présentateurs : Steve Litke (modérateur) et David Roulston En raison des changements climatiques, on s’attend à ce que les inondations majeures augmentent en ampleur et en fréquence dans tout le Canada. Qu’ils relèvent de l’élévation du niveau de la mer, de l’augmentation des débits de pointe des rivières ou de l’accroissement des précipitations, les changements dans les risques d’inondation doivent être pris en compte dans la planification et la prise de décisions en matière d’inondations à toutes les échelles. Cette séance examinera la manière dont les répercussions des changements climatiques sont intégrées dans les plans et stratégies de gestion des inondations en Colombie-Britannique à trois échelles : locale, régionale et provinciale. Les exemples de cas comprennent une initiative locale, la Lower Mainland Flood Management Strategy [stratégie de gestion des inondations dans les basses terres continentales], et le travail effectué pour orienter les stratégies provinciales en matière d’inondation dans toute la Colombie-Britannique. Les présentateurs examineront les défis et les occasions liés à l’intégration des changements climatiques dans la planification relative aux inondations, en mettant l’accent sur les risques d’inondations côtières et fluviales. Quels sont les outils d’orientation offerts en matière de changements climatiques? Quels sont les scénarios de changements climatiques à utiliser? Dans quelle mesure les différentes mesures de réduction des risques d’inondation sont-elles adaptables? Quels sont les échéanciers appropriés aux changements politiques? Par la suite, les participants échangeront leurs points de vue et leurs expériences dans le cadre d’une séance de discussion de type « café du monde ». |
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